Témoignage de NDAYISABA Victor
Je réponds au nom de NDAYISABA Victor, j’habite dans la province de MURAMVYA, commune BUKEYE, zone BUSANGANA, colline NYAMBO.
Je suis actuellement Moniteur agricole. En plus de cela, je suis moi-même cultivateur.
Les employés de la DIFO S.A sont venus nous informer sur comment la Microfinance pourrait nous aider à nous épanouir en nous octroyant des crédits.
Après avoir pris connaissance des différents services que DIFO S.A avait à nous offrir, nous sommes devenus membre de la Microfinance. Par la suite, la DIFO S.A nous a octroyé un crédit pour cultiver des pommes de terre, crédit que la Microfinance nous a octroyée en deux tranches, une première tranche pour acheter les plants de pommes de terre et une deuxième tranche pour vaporiser les pommes de terre. La Microfinance nous a aussi envoyée un agronome pour nous aider.
Le fait que DIFO S.A nous ait octroyé ce crédit en deux tranches nous a permis de mieux l’utiliser en évitant une mauvaise gestion de cet argent.
Avant l’arrivée de la DIFO S.A, lorsque quelqu’un avait besoin d’argent pour pouvoir acheter des plants de pommes de terre, il devait demander un crédit auprès des particuliers. Parfois il arrivait qu’il soit dans l’impossibilité de payer suite par exemple à de mauvaises conditions climatiques et se retrouver dans l’obligation de vendre son lopin de terre pour pouvoir rembourser.
Avec la DIFO S.A, le remboursement est plus facile parce que le paiement du crédit s’effectue en plusieurs petites tranches sur une période plutôt étendue.
Pour ma part, DIFO a été ma première Microfinance mais, certains de mes amis était membre d’autres Microfinances et depuis qu’ils sont membres de DIFO S.A, ils ne sollicitent leurs crédits nulle part ailleurs que dans DIFO.
Depuis que je suis membre de DIFO S.A, les gens n’arrêtent pas de me demander comment devenir membres de DIFO et avoir un crédit.
DIFO nous a beaucoup aidé grâce à leurs enseignements et leur façon de nous accompagner dans nos projets en nous envoyant par exemple un agronome après l’octroi d’un crédit pour la culture des pommes de terre.