Témoignage de NIYONZIMA Anatole

Je réponds au nom de NIYONZIMA Anatole, j’habite dans la Province de MURAMVYA, Commune BUKEYE, Zone BURAMBANA.

Je suis cultivateur de thé depuis 25 ans.

Du temps où je recevais mon salaire directement de l’Office du Thé du Burundi, j’étais dans une situation difficile, qui ne me permettait pas de réaliser mes projets. Bien que l’Office du Thé du Burundi nous donner nos salaire à temps, il n’y avait pas un fonds destiné à nous fournir des crédits, ce qui faisait que j’étais toujours endetter auprès des particuliers, lesquels pour me donner une dette, demandés des intérêts élevés. À titre d’exemple, quand j’empruntais une somme de 100.000Fbu remboursable dans un mois, je devais payer des intérêts de 30.000Fbu.

Quand DIFO S.A a ouvert ses portes à BUKEYE, je suis devenu membre de la Microfinance  et depuis ce jour, mon salaire transite par DIFO S.A.

Chaque fois que je rencontre un problème d’argent, je m’adresse auprès de DIFO S.A  qui me donne un découvert ou un crédit payable en petite tranche avec un faible taux d’intérêt. J’ai déjà reçu 4 crédits de la part de DIFO ce qui m’a permis d’acheter un terrain et de payer des employés chargés de la récolte du thé.

DIFO m’a permis d’être plus respecté par mon entourage du fait que maintenant je ne suis plus toujours en train de leur emprunter de l’argent. Même que maintenant c’est eux qui pensent à m’emprunter de l’argent.

Quand je pense à tous les avantages que m’offre DIFO S.A, allant du découvert au crédit à longs termes. Cela m’amène à la conclusion que pour que je quitte DIFO S.A, il faudra amener les armes.